Un automne placé sous le signe de l’apprentissage. Marie BOUSQUET a remporté la médaille d’or nationale au concours « Meilleurs Apprentis de France 2018, cuisine froide ». Pour couronner sa performance, elle a reçu, en cadeau, un couteau de table Forge de Laguiole signé du célèbre designer Philippe Starck.
C’est aux termes d’une épreuve organisée au centre de formation d’apprentis Médéric à Paris dans le 17ème arrondissement que la jeune finaliste occitane a fait la différence.
Il s’agissait pour les 27 candidats venus de toute la France de réaliser en 4 heures 30 deux plats imposés : un saumon d’Isigny traité de deux façons, accompagné d’une sauce aux agrumes, garniture à base de champignon et d’une garniture au choix et une moscovite rubanne (un merveilleux gâteau au chocolat avec une sauce ou un coulis).
Apprentie en Brevet Professionnel 1ère année Arts de la cuisine à CCI Sud Formation établissement de Montpellier, Marie Bousquet a réalisé son en apprentissage au Mandarin Oriental, le restaurant Parisien du chef étoilé Thierry Marx et chez Fabienne Perret au Mas Cambounet à Gignac.
A l’image du célèbre cuisinier, très engagé dans le soutien de l’apprentissage, Forge de Laguiole se réjouit de contribuer à la promotion d’un mode formation qui repose sur la transmission d’un savoir-faire, la valorisation d’une culture de métier et offre à des jeunes parfois en difficulté la possibilité de trouver leur voie.
A cet égard rappelons que l’un des couteliers vedettes de la Forge de Laguiole, Stéphane Rambaud, remporta la médaille d’or du Meilleur Apprenti en 1987.
Le concours « Un des Meilleurs Apprentis de France » a été créé en 1985 à l’initiative de Paul LABOURIER, MOF enseignant du Morbihan, dans un premier temps au niveau départemental, puis régional et enfin national depuis 2001. Ce concours s’adresse aux jeunes âgés de moins de 21 ans, en formation initiale (CAP, BEP et Bac Pro) provenant d’établissements publics ou privés, sous statut scolaire ou sous contrat d’apprentissage. Il est organisé par la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France sous l’égide du Sénat, du Ministère du Travail et de la Formation professionnelle et du Dialogue Social, et du Secrétariat d’état chargé du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation et de l’Économie Sociale. Le concours est organisé à trois niveaux : à l’échelon départemental, les jurys professionnels attribuent des médailles : Or, Argent, Bronze, puis à l’échelon régional des médailles d’or et d’argent. Seules les médailles d’or régionales sont sélectionnées pour participer aux épreuves finales nationales.
Le très célèbre sommelier-œnologue n’hésite pas à déclarer : « Pour mes 40 ans, mes copains m’ont offert une œuvre unique de la forge de Laguiole. Je ne peux plus m’en passer ». Il s’agit, en effet, d’une pièce exclusive : un sommelier avec ivoire bleue d’une dent de mammouth de Sibérie que nous sommes fiers et heureux d’avoir réalisé à son attention.
Rappelons à ce titre que Thomas Cabrol est un Toulousain un peu spécial.
Depuis mardi dernier, « c’est officiel », situé rue de la Bourse, à deux encablures de la Basilique Notre-Dame de la Daurade, au cœur historique de la ville, consacré meilleur bar à vins d’Europe l’année dernière, le N°5 Wine Bar qu’il dirige avec Anne, son épouse, est sacré meilleur bar à vins mondial par le très réputé magazine « The World of Fine Wine ».
Ce désormais célèbre trimestriel réunit en son jury, les plus grands noms du vin et de l’œnologie : Michel Bettane, Bernard Butschy ou encore Thierry Desseauve.
Renforçant sa remarquable carte de vins, le N°5 Wine Bar présente désormais plus de 3300 références. Clés du succès ? Entre-autre, le formidable travail accompli par l’équipe sur les millésimes, le nombre de cuvées de prestige figurant sur la liste des vins à déguster au verre. Outre un Pétrus de 1989, un Rothschild, l’amoureux des parfums venus de tous les continents pourra également découvrir des vins de Tasmanie ou des vins Japonais.
Et ce, même si le cœur de Thomas Cabrol vibre tout particulièrement pour le bourguignon Chambolle-Musigny et ces vins d’Occitanie et du Sud-Ouest dont il ne cesse de vanter la qualité et le prix. Une adresse à découvrir –si ce n’est déjà fait- sans perdre une minute !
BAR OUVERT : du lundi au dimanche dès 18H
N°5 WINE BAR – 5 rue de la Bourse – 31000 Toulouse / Tél : 05 61 38 44 51
Dans le cadre de la 61e édition des Janus de l’Industrie qui s’est déroulée dans les salons du Ministère des Affaires Etrangères, à Paris , Thierry Moysset, gérant de Forge de Laguiole a reçu le Grand Prix Design de la Réussite des mains de Matthias Fekl, secrétaire d’Etat chargé du Commerce Extérieur, de la Promotion du tourisme et des Français de l’étranger, ainsi que de la présidente de l’Institut Français du Design, Anne-Marie Sargueil.
Ce « Grand Prix », dont c’est la première édition, entend « récompenser les entreprises qui utilisent le design comme levier stratégique. Des entreprises visionnaires qui font rayonner la France à l’étranger et obtiennent des succès durables grâce à l’expertise du savoir-faire de leurs collaborateurs ».
Pour l’ensemble des membres du Jury d’experts réunis sous la présidence de Claude de Méneval, il s’agissait de marquer la reconnaissance de la démarche d’innovation de Forge de Laguiole, de son dirigeant et des équipes.
Au travers une réflexion « design » riche, avant-gardiste et pleinement aboutie, ils ont su ancrer dans la modernité, une activité de tradition, la coutellerie, la défense d’un territoire, l’Aubrac, et une marque de patrimoine.
« Nous sommes très fiers et heureux de ce prix qui distingue une synergie, l’implication des hommes dans leur outil de travail autant qu’une stratégie de développement » a déclaré le gérant de la Forge de Laguiole.
Un Grand Prix qui n’est pas une première mais plutôt « une consécration ». En 2013, Forge de Laguiole s’était vu décerner le Janus du Patrimoine et de l’Innovation pour le couteau « Essentiel » signé par le designer Christian Ghion.
Depuis sa refondation en 1987, sous l’égide de Philippe Stark, qui imagine le célèbre bâtiment avec sa lame lancée vers le firmament, le design est au cœur du projet d’entreprise de Forge de Laguiole qui revendique avec fierté une collaboration avec quelques-uns des plus grands designers français et européens :
Phillippe Stark réalise le fameux couteau aluminium exposé dans les collections permanentes du Design au Musée d’Art Moderne de New York (MOMA). Pour fêter le 25ème anniversaire de la Forge, il signe un nouveau couteau : le LOG ; Yan Pennor’s, avec son couteau d’inspiration catalane, se voit distingué par le Grand Prix Français de l’Objet Design ; Eric Raffy remporte le prix de design le plus innovant d’Atlanta aux Etats-Unis ; Jean-Michel Wilmotte signe le FLUO, un Laguiole à manche en Dacryl® destiné à faire date dans l’histoire de la coutellerie ; Matali Crasset crée pour le célèbre pâtissier Pierre Hermé, une étonnante pelle à découper; le duo de designers C+B Lefèbvre conçoivent le couteau à découper d’Anne-Sophie Pic ; Hilton McConnico propose Virgule, une lecture poétique et audacieuse des codes du Laguiole ; Ora-Ïto dessine le Samouraï, hommage conçu avec son destinataire : Alain Delon ; Andrée Putman réinterprète le classique laguiole capuchadou…
Depuis 1953, le label Janus est une reconnaissance d’excellence pour les entreprises et les collectivités qui s’inscrivent durablement dans une démarche de progrès au service de la Personne, l’Industrie et la Cité et se distinguent dans le paysage concurrentiel par leur prise en compte des utilisateurs, de leurs besoins et attentes. Le Janus est un label officiel de design, issu de l’arrêté ministériel du 13 novembre 1953 et parrainé par le Ministère de l’Industrie et celui du Commerce extérieur. Son jury pluridisciplinaire se compose de 50 experts issus des univers de l’entreprise, de la création et des sciences humaines. Le Janus se décline en sept catégories. Les Janus sont décernés dans le cadre de l’Institut Français de Design.
Les lecteurs du célèbre magazine allemand « Messer Magazin » ont choisi un laguiole de poche signé Virgilio Muñoz Caballero pour attribuer le trophée du « couteau de l’année 2014 », catégorie couteau pliant. Noblesse des matériaux et qualité du savoir-faire made in France, ont fait la différence pour le laguiole de poche Les Ailes de la mouche.
Brut de forge pour la lame gravée à la signature « Forge de Laguiole, corne de vache de l’Aubrac pour le manche, une abeille qui se love entre la lame et le manche d’un couteau entrouvert en guise de mouche, un guillochage sobrement géométrique pour le ressort… ce laguiole pliant confectionné par le coutelier meilleur ouvrier de France le plus célèbre de la Forge avait beaucoup d’atouts.
Une récompense en forme de reconnaissance qui réjouit l’ensemble du personnel de l’entreprise Forge de Laguiole : « Cela nous touche d’autant plus que ce sont des lecteurs, des amateurs, des collectionneurs qui nous ont distingués. Et en matière de coutellerie, l’Allemagne est vraiment un pays de connaisseurs », souligne Thierry Moysset, Gérant de la Forge de Laguiole.
« Die Messer des Jahres » comportent trois trophées décernés une fois par an par les lecteurs du premier magazine de coutellerie allemand « Messer Magazin ». Ils récompensent par un système de votes opérant un classement par catégorie :
– un couteau à verrouillage (type cran d’arrêt) ;
– un couteau de cuisine ;
– un couteau pliant.
Ailes ouvertes sur la mouche, ce couteau laguiole pliant de 12 cm coiffe un manche sans mitres et conclut un guillochage aux motifs sobres et géométriques. Le manche est réalisé dans une belle corne de vache race Aubrac. La lame carbone brut de forge est une réussite esthétique en finition satinée.
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